top of page
IMG_20210131_103516.jpg

LES ATELIERS EN GROUPE DE TRAVAIL CONTINU

 

Le travail en petit groupe est toujours très intéressant. En partageant, une dynamique s'installe: on apprend de soi, sur soi et des autres. Ce type de travail est particulièrement riche en psychogénéalogie.
 

Tout au long de ce cycle de travail en groupe, vous explorerez votre arbre à la lumière des grands thèmes (naissance, couple, argent, deuil, etc…).
En mélangeant enquête généalogique et compréhension psychologique, vous éclairerez et comprendrez votre histoire familiale.

Vous pourrez ainsi mettre en lumière les loyautés familiales inconscientes et invisibles, les traumatismes non transcendés, les deuils non faits, les culpabilités, les hontes, les cryptes, les fantômes psychiques, etc…


Grâce à cette analyse, vous comprendrez de quoi votre héritage familial est constitué et comment certaines situations peuvent agir comme des ricochets dans votre vie.
 

Nous travaillerons avec le génosociogramme que vous réaliserez et qui vous accompagnera au fil de ces ateliers. Il n'est pas nécessaire d'avoir beaucoup d'informations.

Une participation ponctuelle ne peut aboutir à un résultat satisfaisant pour les participants. La participation aux 7 ateliers est nécessaire pour vous permettre de cheminer dans la compréhension de votre histoire.

Je propose des petits exercices à réaliser entre les ateliers pour approfondir le travail.

A la rencontre de mon héritage familial
Une session de 7 ateliers en ligne


PROCHAINES DATES -> 2025
Le mardi soir, toutes les deux semaines


14/01   : Ouverture du génosociogramme et partage de son histoire familiale
28/01  :  L'influence des prénoms, la question de la place, les dates
11/02   : Que savez vous de votre naissance ?
25/02. : L'impact des deuils non faits
11/03   : Le couple et l'histoire familiale
25/03  : De la vie socio-professionnelle et des évènements historiques

01/04. :  Fermeture de l’arbre - Bilan

Si ce groupe est complet, un second groupe peut s'ouvrir sur les mercredis des mêmes semaines

Infos pratiques 

Prix :          380 € la session de 7 ateliers  (paiement plusieurs fois possible)

                   Un acompte de 100€ est demandé à l'inscription.

Horaires :  19h00-22h00  (sauf dernier atelier ->19h00 - 20h30)
En visio  :   via Zoom 
Nombre de places limité à 6 participants

TÉMOIGNAGES

Joelle P.
assistante sociale

Merci encore pour ton regard éclairant au cours des ateliers : j'ai terminé l'année 2022 dans l'effervescence de mes recherches. 

 

Le distanciel m'a beaucoup arrangée car je ne trouve pas d'équivalent dans ma région.Je me suis sentie à l'aise dans le groupe et en confiance, je pense qu'un lien s'est créé entre nous, même par écran interposé. L'écoute a été respectueuse et bienveillante.

Henry C.
journaliste
Consultant en vins

Je m'émerveille encore de cette rencontre, de ce qu'elle suscita en moi, des portes entrebâillées sur des univers  malheureusement trop peu explorés.

 

L'expérience fut bienfaitrice et positivement « secouante ». Elle a posé les bases d'une vaste et absolument nécessaire réflexion sur le leg l'héritage ou la fratrie.

 

Le genre d'expérience est d'accompagnement délicat, intelligent qui change un homme à coup sûr

Valérie M.

Je tenais à te remercier très sincèrement pour ton accompagnement lors de ces ateliers.


Le fait qu’ils soient prévus en distanciel m’a bien convenu. D’un point de vue pratique et économique, je trouve que c’est une formule très intéressante et confortable !

J'ai apprécié la qualité de ton écoute et ta bienveillance.

Catherine F.
Kinésithérapeute

Il a fallu parfois aller chercher loin, se creuser la tête mais... l'essentiel m'est apparu dans toute sa simplicité...

Je me suis régalée, je savais au fond de moi que je devais faire cet atelier, je ne savais pas pourquoi puisque j'avais déjà fait le stage mais je n'imaginais pas que cela  m'apporterait tout cela !

Claude F.
Didrectrice de projets RH

Un séminaire de six séances, en visioconférence, cela peut paraitre court mais de fait, le cheminement, individuel et collectif est réel. Durant la première séance, l’arbre de vie fonde le travail mais aussi la dynamique relationnelle.
De fait, la présentation de chaque arbre nous fait entrer dans la différence et la complexité des vies et des situations des participantes, la variété des questionnements et des recherches.
Et puis chaque séquence, en Visio, permet d’analyser les branches familiales, à partir de différents axes (les lignées, les fratries, les événements positifs et négatifs, le rapport à l’amour, à l’argent, à la mort, la sexualité, etc.).
La particularité de notre groupe fut la qualité immédiate d’écoute, d’attention, de bienveillance, de questionnement.
De sorte que les liens entre les événements, leur reproduction, les secrets, les silences, les rejets, les non transmissions ont émergé dans la parole et l’histoire de chacune a résonné pour les autres.
Bien sûr, le travail intermédiaire a varié selon l’investissement de chaque personne mais le séminaire reste un moment idéal pour exprimer et nommer. 
La visio impose une organisation spécifique du temps et de la parole et, si des liens se nouent temporairement, il manque parfois les moments de simple discussion, les apartés conviviaux, les cafés pris en commun.
Mais personnellement, j’ai terminé le séminaire avec un sentiment d’avancée certaine, un réel apaisement, et une vision approfondie de cette « famille » à laquelle je suis reliée, qui est mienne, que je respire et transmets autant que j’en suis le fruit.

Véronique M.

Je n'avais jamais participé à un atelier de psychogénéalogie, ni à une consultation.
J'ai apprécié le fait que l'atelier soit en groupe et permette à travers un même thème pour la séance de réaliser une recherche pour soi et partager un cheminement en groupe, écouter avec bienveillance nos émotions, analyser ce qui pouvait résonner dans l'histoire des autres.

J'ai apprécié les pratiques différentes et variées, sources différentes à chaque fois pour mieux faire connaissance avec mon arbre donc avec mes origines et avec moi-même, elles nous permettent de nous représenter et de représenter notre arbre de différentes façons, souvent parlantes

J'ai pu approfondir la connaissance de mon arbre, prendre conscience avec plus d'intensité des forces partagées par plusieurs de ses branches (à travers l'émigration), des émotions de ma mère (…), des maladies communes à plusieurs ancêtres, 

Grâce à ton regard avisé et au conseil de rituel, j'ai pu réintégrer dans mon arbre mon arrière-arrière-grand-mère morte si loin de sa famille.


Les documents rédigés et dessins commentés pendant les ateliers restent près de moi, je les relis de temps à autre, ces ateliers sont une étape parmi d'autres sur mon chemin d'appropriation de l'histoire de mes ancêtres

Fabienne F.
thérapeuthe en systémie fAMILIALES

Je tenais, avec ce petit texte, à te témoigner de toute ma gratitude suite à ces 4 mois de stage sur le génosociogramme, passé à la rencontre de mon arbre familial.
Tu fus un guide éclairant, bienveillant, réceptif, constamment soucieux de notre bien-être,présente à chacun de nos pas.
Le groupe fut également extraordinaire d’écoute, de bienveillance et de résonance, car c’est bien main dans la main que nous sommes parvenues à avancer, dans une constante conscience de la
proximité de chacun, sans jamais qu’un sentiment de solitude ne vienne nous ébranler.
Je suis partie en formation bille en tête, avec une boîte à outils à remplir, qui serait, à n’en point douter, une nouvelle corde à mon arc tri-dimensionnel de reconversion pro en tant que thérapeute
systémique et art thérapeute…
Avec distance, donc, et bien ancrée dans mes bottes de 7 lieux. Mes attentes ? Claires, elles aussi : des pistes d’exploration pour apprendre à identifier les
croyances familiales, des outils d’analyses, un accompagnement pour trouver la lumière entre les branches…
Sauf que.
J’étais loin du compte, en ne mesurant que partiellement ce que le fait de prendre son arbre familial pour terrain d’expérimentation allait inévitablement produire … Un accouchement !
La mère et l’enfant vont bien, rassurez-vous. Même sil y avait un sacré peuple le jour J.
Et pourtant, qu’il fut difficile d’avancer en plein brouillard, en quête de réponses, face à un arbre-silence qui rendait impossible toute question. Sagesse ? Folie ? Car lorsque les racines sont à ce point protégées, recouvertes de la terre de nos ancêtres, ne risque t’on pas, en les faisant affleurer, de déséquilibrer tout l’arbre ?
Les ancêtres errants dans la brume se sont redressés, ont pris corps et vie devant moi, sculptés par un acte civil, un état de service militaire, parfois une photo, souvent un journal, plus rarement, un ouvrage historique.
J’ai été très touchée de parvenir à rejoindre certains d’entre-eux dans leur expérience de vie : famille, métier, habitat, contexte… J’en ressens beaucoup de gratitude.
Il eut été possible d’en rester là, toute absorbée à la contemplation de l’arbre. Et de ne rien changer.
Mais le propre de la psychogénéalogie est de prendre son bâton de marche et de rentrer dans le sombre de la forêt. D’interroger le murmure des arbres, d’y poser la main avec bienveillance et  respect, de réparer ce qui peut l’être, et surtout, en remontant à la source, de comprendre ce qui agit les membres de la famille, parfois depuis de nombreuses générations.
J’y ai appris que rien n’est jamais irréparable.
L’accès à l’histoire familiale, à ses croyances perpétuées, nous offre l’opportunité de réparer, symboliquement, ce qui a fait souffrance : un deuil, une séparation, une spoliation, etc… ce qui se produit après ces mises en acte symboliques est extraordinaire.
En cela, le génosociogramme est un formidable outil de recherche et de compréhension.  Pour autant, loin d’être une démarche de déresponsabilisation au profit des aïeux, le chemin de la psychogénéalogie est au contraire la possibilité de rendre à chacun ce qui lui appartient, et de prendre ce qui nous appartient, en toute responsabilité.
C’est bien à ce prix que l’on s’incarne.
A défaut de connaitre mes ancêtres, j’ai pu les reconnaître, et me reconnaitre comme l’un des leurs. Depuis, tout prend sens, trouve sa juste place, et me permet de prendre la mienne, en pleine lumière.
De soi à l’arbre. De l’arbre à soi. Prendre le risque du réel, voici la seule vérité.
Car l’arbre n’est pas cette chose immense qui voile l’horizon et qui empêche la lumière de pénétrer : l’arbre est racine, il est vie. Il est le socle, le refuge et …l’envol

bottom of page